LMNP ou Location Meublée Non Professionnelle concerne les propriétaires de plusieurs ou d’un logement meublé mis en location. En faite, il s’agit de déclarer son loyer annuel brut dans la classe des BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux) pour la réintégration au barème des impôts sur le revenu (au régime du réel ou au micro BIC quand les loyers issus de l’investissement locatif meublé sont supérieurs au plafond de la micro-société). Les fiscalités LMNP concernent la location meublée à utilisation d’habitation, en résidence médicalisée, en résidence d’affaires, mais également les meublés à utilisation touristique saisonnière ou ponctuelle. Au régime micro BIC, les propriétaires en LMNP bénéficient de la réduction fiscale de 71 % pour la location d’un meublé de tourismes classés ou la location d’une chambre d’hôte ou de 50 %pour une location habituelle. Les propriétaires LMNP doivent se déclarer au greffe du tribunal de commerce.
LMNP : c’est quoi exactement?
Les locations meublées permettent à un locateur de louer un logement assez meublé afin qu’un preneur puisse y vivre et entrer dans lieux. Noter que les équipements de base doivent être présents tels que la télévision, le coin-cuisine bien équipé, etc. Ces régimes s’opposent aux locations nues qui permettent à un locateur de louer un logement vide, c’est-à-dire non meublé. La Location Meublée Non Professionnelle, est soumise à des règles fiscales et juridiques différentes du louage nu. Cet
investissement locatif meublé vous permet d’amortir une partie des valeurs des biens entre 20 à 30 ans et aussi de créer des loyers nets des impôts durant cette période, contrairement aux locations nues qui sont soumises aux régimes des revenus fonciers, où les loyers sont ainsi imposables. Pour plus de détails, visitez ce site :
www.investissement-lmnp.fr.
Les atouts du LMNP à prendre en compte
TVA, imposition, profils des investisseurs : en générale, les atouts de la location meublée non professionnels sont multiples.La réduction des impôts : depuis le premier janvier 2009 jusqu’au 31-12-2016, les personnes qui achètent un bien neuf destiné aux locations pourraient profiter d’une réduction des impôts qui pourrait s’élever jusqu’à 11 %, attribuée sur 9 (neuf) années. En effet, cette dernière est également valable pour les acquisitions d’un bien achevé depuis 15 ans au moins ou en futur état d’achèvement, mais qui va faire un objet d’une réhabilitation ou d’une rénovation. Pour la typologie des biens, celui-ci devrait être compris dans :
-une résidence avec prestations pour les étudiants,
-une résidence des tourismes classés,
-un établissement qui offre des soins de longues durées et qui intègre un hébergement pour les gens en perte d’autonomie particulièrement,
-un établissement avec des prestations pour les personnes handicapées ou pour les personnes âgées ayant obtenu l’agrément.
Autres atouts du LMNP
En marge des principaux atouts qui fait l’attrait des statuts de loueur en meublé non professionnel ou
investissement lmnp, il faut également noter que :
-les statuts de LMNP sont accessibles à tous les contribuables,
-la possibilité de récupération des TVA : un autre atout non négligeable des statuts LMNP. Il donne au bailleur le statut de commerçant. En effet, à ce titre, il pourrait récupérer les totalités des TVA liées à l’hébergement en une seule fois,
- La plus-value : en cas de cession, c’est les plus avantageuses, les plus-valus des particuliers, qui s’appliquent et non pas celles des spécialistes
-les prises en considération des déficits : en général, ils ne pourraient pas être pris en compte dans les revenus globaux,
-le statut de
lmnp vous permet de choisir entre le régime réel et micro-BIC : quand les recettes ne dépassent pas les 32000 € par an. En faite, il est possible d’opter pour le régime micro BIC. Le bailleur bénéficie à ce titre d’une réduction avantageuse de 50 %. Dans ce cas-là, les charges ne pourraient pas être déduites. Mais par contre, si elles dépassent les 32000 €, le bailleur doit opter pour le régime réel et pourrait avoir la possibilité de déduire les charges réelles. Ainsi, cela implique particulièrement les charges locatives, les intérêts d’emprunt, l’amortissement du bien et les impôts fonciers, à l’exception des terrains.